« Mister Prés, t’es en chute libre auprès des jeunes, ça sent le ground zero pour la rentrée. Pourtant, t’as un bon flow, t’as la bonne attitude, t’es pas dans le bad, t’es un killer ». C’est en ces termes que le journaliste Christophe Barbier imagine, dans les pages du magazine L’Express, dont il a été le directeur de la rédaction, les propos de Sibeth Ndiaye à l’endroit d’Emmanuel Macron. Et cela, au cours d’une réunion de cabinet fictive.
L’histoire : peu avant les vacances présidentielles, Emmanuel Macron se retrouve entouré de ses collaborateurs qui lui prodiguent des conseils afin de doper sa côte de popularité, actuellement en chute libre. Résultat, Sibeth Ndiaye propose, sur l’instrumental beatbox d’Ismaël Emelien, conseiller spécial de Macron, un morceau de rap.
Dans l’esprit de Barbier, le rap semble faire office de formule magique pour « parler aux jeunes »…
« Yo ! Yo ! Je suis le Kid, je suis le boss/Je suis le Prez, pour vous, je bosse/Mon blaze, c’est Jupiter, mais please, mec, call me Jup. »
« À Mossoul, comme à Bamako/J’suis le héros anti-terro/Je suis le king sur la drop zone/Je nique les clones, je ken les drones.»
L’« exercice de style », déroutant, a provoqué un vif malaise sur les réseaux sociaux. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
L’histoire : peu avant les vacances présidentielles, Emmanuel Macron se retrouve entouré de ses collaborateurs qui lui prodiguent des conseils afin de doper sa côte de popularité, actuellement en chute libre. Résultat, Sibeth Ndiaye propose, sur l’instrumental beatbox d’Ismaël Emelien, conseiller spécial de Macron, un morceau de rap.
Dans l’esprit de Barbier, le rap semble faire office de formule magique pour « parler aux jeunes »…
« Yo ! Yo ! Je suis le Kid, je suis le boss/Je suis le Prez, pour vous, je bosse/Mon blaze, c’est Jupiter, mais please, mec, call me Jup. »
« À Mossoul, comme à Bamako/J’suis le héros anti-terro/Je suis le king sur la drop zone/Je nique les clones, je ken les drones.»
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