Sous le régime de Macky Sall, presque tous les corps sont affectés par la politique. Pour durer dans certains postes, il faut détenir la carte de l’APR. Boubacar Camara, auteur du nouveau livre « Construire le Sénégal du Futur », promet de rectifier tout, une fois élu président de la République en 2024.
« L’Etat ne doit recourir à aucun procédé de détournement de pouvoir ou de procédure dont le but ou l’effet est de traiter de façon impartiale le dossier des personnes physiques ou morales. De plus, chaque fois que la responsabilité de l’Etat est engagée, une réparation juste et équitable doit être consentie pour couvrir le préjudice subi. Il est important que les citoyens et surtout les investisseurs aient confiance en l’Etat », a-t-il soutenu dans un livre dont la cérémonie de dédicace est prévue ce samedi à Dakar. Toujours sur l’État, il promet l’exclusion de la politique du champ d’action de l’administration. « C’est la première condition pour assurer la neutralité de l’État. Cette exclusion doit être de mise pour le recrutement, les nominations, le traitement salarial et de façon générale, la gestion de la carrière. Ces règles doivent être enseignées aux citoyens dès leur jeune âge à travers des cours d’instruction civique et au cours de tout le cursus scolaire, par le biais d’enseignement obligatoire du droit administratif et des sciences et techniques administratives », peut-on lire aux pages 178 et 179 du nouveau livre de Babacar Camara, ancien Directeur Général de la Douane Sénégalaise.
Sur la justice, il promet l’indépendance de ce pouvoir. « C’est une exigence pour un environnement des affaires attractif et la cohésion sociale. Une loi d’orientation consensuelle est nécessaire pour fixer le cadre de l’indépendance de la justice. » L’ouvrage de Boubacar Camara tente de démontrer que malgré l’immensité de la tâche pour y parvenir, cette rectification est à sa portée. Enfin ce livre esquisse les contours de ce que pourraient devenir le Sénégal et l’Afrique, si les élites politiquement engagées, conscientes et déterminées pour l’intérêt du continent, réussissent à travers un sursaut salvateur.
« L’Etat ne doit recourir à aucun procédé de détournement de pouvoir ou de procédure dont le but ou l’effet est de traiter de façon impartiale le dossier des personnes physiques ou morales. De plus, chaque fois que la responsabilité de l’Etat est engagée, une réparation juste et équitable doit être consentie pour couvrir le préjudice subi. Il est important que les citoyens et surtout les investisseurs aient confiance en l’Etat », a-t-il soutenu dans un livre dont la cérémonie de dédicace est prévue ce samedi à Dakar. Toujours sur l’État, il promet l’exclusion de la politique du champ d’action de l’administration. « C’est la première condition pour assurer la neutralité de l’État. Cette exclusion doit être de mise pour le recrutement, les nominations, le traitement salarial et de façon générale, la gestion de la carrière. Ces règles doivent être enseignées aux citoyens dès leur jeune âge à travers des cours d’instruction civique et au cours de tout le cursus scolaire, par le biais d’enseignement obligatoire du droit administratif et des sciences et techniques administratives », peut-on lire aux pages 178 et 179 du nouveau livre de Babacar Camara, ancien Directeur Général de la Douane Sénégalaise.
Sur la justice, il promet l’indépendance de ce pouvoir. « C’est une exigence pour un environnement des affaires attractif et la cohésion sociale. Une loi d’orientation consensuelle est nécessaire pour fixer le cadre de l’indépendance de la justice. » L’ouvrage de Boubacar Camara tente de démontrer que malgré l’immensité de la tâche pour y parvenir, cette rectification est à sa portée. Enfin ce livre esquisse les contours de ce que pourraient devenir le Sénégal et l’Afrique, si les élites politiquement engagées, conscientes et déterminées pour l’intérêt du continent, réussissent à travers un sursaut salvateur.
Le réveil journal