Après les révélations de Me Wade sur les conditions de libération de Karim Wade et de son exfiltration vers le Qatar, la réponse ne s’est pas fait attendre du côté du pouvoir. Et c’est El Hadj Kassé, ministre conseiller en charge de la communication du Président de la République, qui réplique en premier. Ses avertissements à l’endroit de Me Wade sont plus que clairs.
«Non seulement c’est de la spéculation, mais aussi le candidat Wade sait parfaitement ce qui s’est passé. Il sait ce qu’il a demandé à l’Emir du Qatar et il sait le contenu de la lettre que l’Emir a envoyée au Président Macky Sall. Maintenant, s’il persiste dans l’intoxication, nous allons publier la lettre dans sa version arabe et dans sa traduction en français. Comme ça, toute l’opinion saura ce qui s’est passé», avertit-il Me Abdoulaye Wade dans les colonnes de L’Observateur.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); «L’opinion saura qu’il n’y a pas de protocole. Je vous rappelle que le candidat Wade avait dit que personne n’osait juger son fils. Ensuite, il avait dit que personne n’osait le condamner, il a l’a été sur la base de preuves manifestes de sa culpabilité. Pendant tout le temps qu’il est resté en prison, personne ne s’est levé. Et quand la demande a été faite, pour des raisons humanitaires, Macky a fait valoir ses prérogatives constitutionnelles», ajoute le ministre conseiller.
De son avis, «pour le candidat Wade, le seul rôle de l’assemblée nationale, c’est pour amnistier son fils».
«Non seulement c’est de la spéculation, mais aussi le candidat Wade sait parfaitement ce qui s’est passé. Il sait ce qu’il a demandé à l’Emir du Qatar et il sait le contenu de la lettre que l’Emir a envoyée au Président Macky Sall. Maintenant, s’il persiste dans l’intoxication, nous allons publier la lettre dans sa version arabe et dans sa traduction en français. Comme ça, toute l’opinion saura ce qui s’est passé», avertit-il Me Abdoulaye Wade dans les colonnes de L’Observateur.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); «L’opinion saura qu’il n’y a pas de protocole. Je vous rappelle que le candidat Wade avait dit que personne n’osait juger son fils. Ensuite, il avait dit que personne n’osait le condamner, il a l’a été sur la base de preuves manifestes de sa culpabilité. Pendant tout le temps qu’il est resté en prison, personne ne s’est levé. Et quand la demande a été faite, pour des raisons humanitaires, Macky a fait valoir ses prérogatives constitutionnelles», ajoute le ministre conseiller.
De son avis, «pour le candidat Wade, le seul rôle de l’assemblée nationale, c’est pour amnistier son fils».