Menu



“Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités"  Voile à l'école: Le Conseil national du Laïcat indigné par les "declarations maladroites" de Sonko

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


ELECTION PRESIDENTIELLE : Les grands perdants

POLITIQUE
Mercredi 27 Mars 2024

Le parti Pastef et Bassirou Diomaye Faye sont les grands vainqueurs du scrutin qui s’est tenu dimanche. Par contre, il y’a aussi des grands perdants comme Amadou Ba, Bougane Gueye Dany, Khalifa Sall et Idrissa Seck.


 
Khalifa, le prix du dialogue

Autre perdant est sans conteste Khalifa Sall. Après avoir été écarté du scrutin de 2019, tout ce qui l’intéressait était de participer à l'élection de 2024, peu importe la manière. Avant le jour du vote, il était présenté comme l’outsider, le faiseur de roi. À l'arrivée, c’est la grande désillusion au sein de Taxawu. En plus, les relations entre Khalifa et les nouveaux maîtres sont exécrables, ces derniers l’accusant de trahison pour avoir participé au dialogue qui a permis à Macky Sall de se donner les moyens d’éliminer Ousmane Sonko.

Idy, la rançon de la participation

Aussi Idrissa Seck. Avec lui, il n’y a aucune surprise, il paye la facture de ses choix politiques à savoir sa décision de nouer une alliance avec Macky Sall. Lorsqu’il est sorti de la coalition Benno Bokk Yaakar, Idrissa Seck a déclaré que ses pires résultats lors d’une présidentielle ont eu lieu en 2012, parce qu’il avait privilégié la contestation à la place du travail de terrain. Il pensait donc faire de bons résultats en faisant le tour du pays. Apparemment, il a mal jugé l’attente des Sénégalais qui demandent une nouvelle morale politique. Son inconstance a été lourdement sanctionnée. De 26% en 2019, il risque de se retrouver avec 1% en 2024.

Bougane, le mauvais calcul

Force de s’écouter, il a fini par se convaincre. Bougane Gueye Dany était persuadé qu’il était l’homme de la situation. Candidat à toutes les élections depuis 2019, Bougane n’a jamais su dépasser le cap du parrainage. Son poids électoral reste donc inconnu, mais Bougane se veut un ténor. Ainsi, pendant longtemps, il a gardé le suspens quant au candidat qu’il devait soutenir. C’est à la dernière minute qu’il décide de ne pas donner de consigne, prenant rendez-vous avec ses militants au second tour. Il attendait donc ce moment, pour se présenter en faiseur de roi. Mal lui en a pris, puisque le scrutin s’est limité au premier tour. Il sera totalement absent de la présidentielle et devra trouver sa place dans l’opposition.

Pur, la reculade

Du côté du Parti de l'unité et du rassemblement (Pur), c’est moins le candidat Aliou Mamadou Dia que le parti qui perd. A la suite de la présidentielle de 2019, le parti a eu un score honorable. Le PUR s’était donc présenté comme une force politique. On s’attendait donc logiquement à une montée en puissance, surtout que le candidat a un bon profil. Mais la formation de Serigne Moustapha Sy a fortement reculé à l'issue de ce scrutin. Il pourrait quand même faire mieux que Rewmi de Idrissa Seck.

Amadou Ba

Il était confiant. Ceux qui l’ont accompagné pendant la campagne électorale ont vu un homme déterminé à gagner le scrutin. Sa posture avait même semblé doper ses proches qui croyaient aussi que le candidat de Benno Bokk Yaakar allait remporter haut la main le scrutin du 24 mars. Mais il a buté sur une opposition qui avait le soutien d’une écrasante majorité de Sénégalais notamment la majorité silencieuse. L’ancien Premier ministre a été victime des divisions de son camp.

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022