Hosni Moubarak avait été condamné à la prison à vie en 2012, pour meurtre et tentative de meurtre sur des manifestants, abus de pouvoir et de biens sociaux et atteinte aux intérêts de l’État. Des faits survenus en 2011, durant les jours de manifestations qui ont précédé sa chute. Et dans lesquels il nie toute implication, depuis des années.
Agé de 88 ans, l’ancien-raïs, qui a régné pendant trente ans, a quitté l’hôpital militaire de Maadi, où il était détenu, et a pris la direction du quartier d’Héliopolis, dans la banlieue du Caire, où il possède une résidence.
Nonobstant cette remise en liberté, l'ancien chef d'Etat est frappé d’une interdiction de sortie du territoire égyptien car visé par deux enquêtes.
En effet, la justice avait ordonné la réouverture d’une enquête pour corruption contre l’ancien président. Cette nouvelle enquête porte sur des accusations selon lesquelles lui, sa femme, leurs deux fils et belles-filles ont reçu des cadeaux du quotidien gouvernemental Al-Ahram d’une valeur d’environ 1 million de dollars.
M. Moubarak est aussi visé par une autre enquête pour gain illicite, mais n’a pas été traduit devant les tribunaux pour cette affaire. Il ne pourra toutefois pas se rendre à l’étranger, d’après son avocat, en raison d’une enquête de l’organisme égyptien qui surveille les fortunes accumulées de manière frauduleuse.
Agé de 88 ans, l’ancien-raïs, qui a régné pendant trente ans, a quitté l’hôpital militaire de Maadi, où il était détenu, et a pris la direction du quartier d’Héliopolis, dans la banlieue du Caire, où il possède une résidence.
Nonobstant cette remise en liberté, l'ancien chef d'Etat est frappé d’une interdiction de sortie du territoire égyptien car visé par deux enquêtes.
En effet, la justice avait ordonné la réouverture d’une enquête pour corruption contre l’ancien président. Cette nouvelle enquête porte sur des accusations selon lesquelles lui, sa femme, leurs deux fils et belles-filles ont reçu des cadeaux du quotidien gouvernemental Al-Ahram d’une valeur d’environ 1 million de dollars.
M. Moubarak est aussi visé par une autre enquête pour gain illicite, mais n’a pas été traduit devant les tribunaux pour cette affaire. Il ne pourra toutefois pas se rendre à l’étranger, d’après son avocat, en raison d’une enquête de l’organisme égyptien qui surveille les fortunes accumulées de manière frauduleuse.