Le Secrétaire exécutif de la Plateforme des acteurs de la Société civile pour la transparence des élections (Pacte) reste optimiste, mais tout de même vigilant. En effet, Djibril Gningue, présent dans la commission du dialogue politique en tant que représentant de la société civile, n’a pas manqué de rappeler les préalables exigés par les acteurs.
«Il faut rappeler que parmi les préalables qui avaient été posées par l’opposition pour accepter de participer au dialogue politique figurait l’engagement du président de la République d’appliquer sans réserve les conclusions consensuelles issues des travaux de la commission politique du dialogue national», a-til convoqué. Il reconnait ainsi que «si l’opposition avait exigé et obtenu l’engagement du président de la République, c’est sans doute en raison des précédents dans ce domaine que vous évoquez fort justement».
Par conséquent, il s’est voulu prudent concernant le respect desdits engagements, mais aussi des interprétations qui peuvent en découler. Il dira à cet effet qu’«en ce qui concerne le respect des engagements pris par le chef de l’Etat tenant compte de l’expérience, nous ne ferons pas une confiance aveugle au chef de l’Etat pas plus que nous n’accepterons pas que les avancées remarquables réalisées par le dialogue politique soient instrumentalisées par d’autres acteurs».
Il pense, par conséquent, que le défi actuel est la matérialisation des accords obtenus lors des travaux de la commission du dialogue politique. «C’est dire qu’après le défi de la tache relative à la bataille pour réunir les conditions de succès et d’efficacité d’un dialogue politique fructueux, il reste à réaliser celles liées à la finalisation des travaux et du respect des accords qui en seront issus», a-t-il estimé. Pour ce faire, il n’a pas manqué de préciser que la société civile sera à l’avant-garde pour l’effectivité des points de consensus.
«A cet égard, nous n’écartons pas l’idée de la mise en place au niveau de la société civile d’une plate-forme de veille et de contrôle à laquelle nous pourrions associer tous les acteurs», a-t-il averti. Djibril Gningue n’a pas manqué, par ailleurs, de préciser que «les travaux du dialogue politique ne sont pas encore terminés car à la suite du rapport final faisant la synthèse des deux sessions qui ont eu lieu du 31 mai 2019 au 19mars 2020 et ensuite du 19 août au 03 septembre 2020, la commission politique a retenu de se réunir dans une troisième et dernière session pour discuter de toutes les questions qui ont été reportées après l’audit et l’évaluation». A noter, en outre, que l’appel d’offre final pour l’audit du fichier et l’évaluation du processus électoral a été lancé par le cabinet d’experts ERA, dirigé par le sénégalais Joseph Basse, selon les assurances de Djibril Gningue. S’en suivra, à son avis, la sélection des experts.
«Il faut rappeler que parmi les préalables qui avaient été posées par l’opposition pour accepter de participer au dialogue politique figurait l’engagement du président de la République d’appliquer sans réserve les conclusions consensuelles issues des travaux de la commission politique du dialogue national», a-til convoqué. Il reconnait ainsi que «si l’opposition avait exigé et obtenu l’engagement du président de la République, c’est sans doute en raison des précédents dans ce domaine que vous évoquez fort justement».
Par conséquent, il s’est voulu prudent concernant le respect desdits engagements, mais aussi des interprétations qui peuvent en découler. Il dira à cet effet qu’«en ce qui concerne le respect des engagements pris par le chef de l’Etat tenant compte de l’expérience, nous ne ferons pas une confiance aveugle au chef de l’Etat pas plus que nous n’accepterons pas que les avancées remarquables réalisées par le dialogue politique soient instrumentalisées par d’autres acteurs».
Il pense, par conséquent, que le défi actuel est la matérialisation des accords obtenus lors des travaux de la commission du dialogue politique. «C’est dire qu’après le défi de la tache relative à la bataille pour réunir les conditions de succès et d’efficacité d’un dialogue politique fructueux, il reste à réaliser celles liées à la finalisation des travaux et du respect des accords qui en seront issus», a-t-il estimé. Pour ce faire, il n’a pas manqué de préciser que la société civile sera à l’avant-garde pour l’effectivité des points de consensus.
«A cet égard, nous n’écartons pas l’idée de la mise en place au niveau de la société civile d’une plate-forme de veille et de contrôle à laquelle nous pourrions associer tous les acteurs», a-t-il averti. Djibril Gningue n’a pas manqué, par ailleurs, de préciser que «les travaux du dialogue politique ne sont pas encore terminés car à la suite du rapport final faisant la synthèse des deux sessions qui ont eu lieu du 31 mai 2019 au 19mars 2020 et ensuite du 19 août au 03 septembre 2020, la commission politique a retenu de se réunir dans une troisième et dernière session pour discuter de toutes les questions qui ont été reportées après l’audit et l’évaluation». A noter, en outre, que l’appel d’offre final pour l’audit du fichier et l’évaluation du processus électoral a été lancé par le cabinet d’experts ERA, dirigé par le sénégalais Joseph Basse, selon les assurances de Djibril Gningue. S’en suivra, à son avis, la sélection des experts.