
Dans son court discours, après avoir salué les vétérans médaillés sur la tribune et quelques phrases d'hommage, Vladimir Poutine est entré directement dans le vif du sujet : « Je m'adresse à nos forces armées : vous vous battez pour la patrie, pour son avenir ».
Un discours tenu seul, sans invités étrangers, comptant même l'absence du président biélorusse Alexandre Loukachenko. Durant ce discours, le mot « Donbass » a ainsi été prononcé six fois en l’espace de dix minutes et le mot « Otan » trois fois, c'est une première. « Combattre pour le Donbass, c'est combattre pour la sécurité de la Russie », a dit le président russe.
Revenant sur sa décision de lancer ses forces en Ukraine le 24 février, Vladimir Poutine a répété que les autorités ukrainiennes préparaient une attaque contre des séparatistes pro-russes dans l'est du pays, qu’ils voulaient se doter de la bombe atomique et qu’ils étaient soutenus par l'Otan, menace existentielle pour la Russie.
« Une menace absolument inacceptable se constituait, directement à nos frontières », a-t-il affirmé, accusant encore une fois son voisin de néonazisme et qualifiant son offensive de « riposte préventive » et de « seule bonne décision ».
Un discours tenu seul, sans invités étrangers, comptant même l'absence du président biélorusse Alexandre Loukachenko. Durant ce discours, le mot « Donbass » a ainsi été prononcé six fois en l’espace de dix minutes et le mot « Otan » trois fois, c'est une première. « Combattre pour le Donbass, c'est combattre pour la sécurité de la Russie », a dit le président russe.
Revenant sur sa décision de lancer ses forces en Ukraine le 24 février, Vladimir Poutine a répété que les autorités ukrainiennes préparaient une attaque contre des séparatistes pro-russes dans l'est du pays, qu’ils voulaient se doter de la bombe atomique et qu’ils étaient soutenus par l'Otan, menace existentielle pour la Russie.
« Une menace absolument inacceptable se constituait, directement à nos frontières », a-t-il affirmé, accusant encore une fois son voisin de néonazisme et qualifiant son offensive de « riposte préventive » et de « seule bonne décision ».