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Jeudi, des militaires avaient pourtant annoncé la fin des mutineries qui ont touché la Côte d'Ivoire depuis le début de l'année au cours d’une cérémonie présidée par le chef de l’Etat Alassane Ouattara.
Des coups de feu ont retenti à l'état-major de l'armée ivoirienne à Abidjan.
A Bouaké, siège du 3e bataillon d'infanterie qui avait été l'origine du mouvement de contestation en janvier, des militaires circulaient à bord de camions dans les rues où la plupart des commerces avaient fermé.
Le campus universitaire de Bouaké a également été fermé.
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Un contingent de 8.400 anciens rebelles intégrés dans l'armée est à l'origine des mutineries.
Une grande partie d’entre eux forment le 3e bataillon d'infanterie de Bouaké.
Les mutins avaient réclamé 12 millions de francs CFA de primes et obtenu le versement dès janvier de 5 millions (7.500 euros), entrainant des mouvements de revendication similaires dans d'autres catégories de l'administration.
Le gouvernement ivoirien s'était pour sa part toujours refusé à divulguer le contenu des négociations et le montant des primes versées ou promises. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
Jeudi, des militaires avaient pourtant annoncé la fin des mutineries qui ont touché la Côte d'Ivoire depuis le début de l'année au cours d’une cérémonie présidée par le chef de l’Etat Alassane Ouattara.
Des coups de feu ont retenti à l'état-major de l'armée ivoirienne à Abidjan.
A Bouaké, siège du 3e bataillon d'infanterie qui avait été l'origine du mouvement de contestation en janvier, des militaires circulaient à bord de camions dans les rues où la plupart des commerces avaient fermé.
Le campus universitaire de Bouaké a également été fermé.
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Un contingent de 8.400 anciens rebelles intégrés dans l'armée est à l'origine des mutineries.
Une grande partie d’entre eux forment le 3e bataillon d'infanterie de Bouaké.
Les mutins avaient réclamé 12 millions de francs CFA de primes et obtenu le versement dès janvier de 5 millions (7.500 euros), entrainant des mouvements de revendication similaires dans d'autres catégories de l'administration.
Le gouvernement ivoirien s'était pour sa part toujours refusé à divulguer le contenu des négociations et le montant des primes versées ou promises. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});