Comme si l'on pouvait s’y attendre, le colonel Abdourahim Kébé qui a fait face à la presse cet après-midi est largement revenu sur les évènements qu'il avait vécus au lendemain de la présidentielle du 24 février dernier.
Abdourahim Kébé fustige le comportement du gouvernement en cette période, car selon lui, il n'y a aucune loi qui l'interdit de s'engager dans la politique.
Revenant sur sa convocation à la section de recherches, le démissionnaire du parti Rewmi soutient qu'il va déférer à la convocation.
«Il m'est demandé de me présenter à la section de recherches demain vendredi à 16h. Je vais déférer à la convocation à jour et à l'heure indiquée comme tout bon citoyen ».
A cet effet, le colonel Abdourahim Kébé estime qu’«il n’est plus question de me coller le devoir de réserve».
Car poursuit-il toujours dans son discours, «il n'est pas pertinent de chercher à bâillonner un militaire à la retraite. C'est un manque de respect de restreindre le droit à un militaire qui a dignement servi sa nation».
Toutefois il précise que « l'intimidation et l'acharnement qui est en train de se faire n'entacheront en rien à mon engagement citoyen...»
Abdourahim Kébé fustige le comportement du gouvernement en cette période, car selon lui, il n'y a aucune loi qui l'interdit de s'engager dans la politique.
Revenant sur sa convocation à la section de recherches, le démissionnaire du parti Rewmi soutient qu'il va déférer à la convocation.
«Il m'est demandé de me présenter à la section de recherches demain vendredi à 16h. Je vais déférer à la convocation à jour et à l'heure indiquée comme tout bon citoyen ».
A cet effet, le colonel Abdourahim Kébé estime qu’«il n’est plus question de me coller le devoir de réserve».
Car poursuit-il toujours dans son discours, «il n'est pas pertinent de chercher à bâillonner un militaire à la retraite. C'est un manque de respect de restreindre le droit à un militaire qui a dignement servi sa nation».
Toutefois il précise que « l'intimidation et l'acharnement qui est en train de se faire n'entacheront en rien à mon engagement citoyen...»