Clédor Sène
Dans l’émission «Face to face» de ce dimanche 16 avril, Clédor Sène, leader de la Coalition Claire vision, structure mise en place pour les législatives, s’est prononcé sur «l’affaire Khalifa Sall». Selon lui, les chefs d’accusation collés contre le maire de Dakar notamment celui du «détournement de deniers publics» vont dans le sens de l’écarter des compétitions électorales.
Même s’il «reconnait que l’affaire est en instruction», il prédit que «le jugement risque de confirmer les charges déjà retenues contre le maire de Dakar». Parce que pour Clédor, «quelqu’un, qui est le magistrat de la plus grande ville du pays, bénéficie d’une garantie de représentativité et peut être libre sous contrôle judiciaire. Il en est ainsi pour Bamba Fall, maire de la Médina. Mais si on lui refuse la liberté provisoire, et si on connait comment fonctionne la justice sénégalaise, on va vers une condamnation qui l’écarterait de la compétition politique».
Pire pour le leader de Claire Vision «quand on est accusé de détournement de deniers publics, on n’est pas éligible à la grâce». «Mais aujourd’hui, si une décision juridique le maintient en prison, seule une décision politique pourra l’en faire sortir comme cela a été de tout temps avec les Abdoulaye Wade, Abdoulaye Bathily, Landing Savané et autres leaders politiques d’opposition», soutient Clédor.
Même s’il «reconnait que l’affaire est en instruction», il prédit que «le jugement risque de confirmer les charges déjà retenues contre le maire de Dakar». Parce que pour Clédor, «quelqu’un, qui est le magistrat de la plus grande ville du pays, bénéficie d’une garantie de représentativité et peut être libre sous contrôle judiciaire. Il en est ainsi pour Bamba Fall, maire de la Médina. Mais si on lui refuse la liberté provisoire, et si on connait comment fonctionne la justice sénégalaise, on va vers une condamnation qui l’écarterait de la compétition politique».
Pire pour le leader de Claire Vision «quand on est accusé de détournement de deniers publics, on n’est pas éligible à la grâce». «Mais aujourd’hui, si une décision juridique le maintient en prison, seule une décision politique pourra l’en faire sortir comme cela a été de tout temps avec les Abdoulaye Wade, Abdoulaye Bathily, Landing Savané et autres leaders politiques d’opposition», soutient Clédor.