Rappel des faits rapportés par AZACTU.net dès le début de ce dossier:
Que s’est-il passé exactement ?
Selon des informations, les faits remontent au 3 juillet. 2O17 juste à la veille des Législatives. (Ces élections se sont déroulées le 30 juillet 2018). En effet, le nommé Amadou Diossy Ndiaye a acheté un terrain d’une superficie de 391m2 à Ngor-Virage, près de l’ancien aéroport L.S.S) à Dakar, pour le compte de son frère émigré. La transaction s’est déroulé devant notaire à savoir le Cabinet SC Ndiaye de Me Mamadou Tanor Dieng et Me Yaye Touty Sylla Ndiaye).
Jusque-là, tout va bien mais il est tombé des nues lorsqu’au moment d’entamer la construction une banque de la place a opposé son véto sous prétexte que le terrain avait été hypothéqué auprès d’elle par la dame O. Diop, pour un crédit de 88.000.000 de Francs CFA.
Croyant d’abord que c’était une erreur, il a ensuite eu confirmation auprès de la vendeuse qui a demandé un délai pour trouver une solution à cette affaire.
Après deux 2 délais non respectés, la victime, décidé à se battre contre ce qu’il qualifie d’impunité, a commis un avocat et pour porter plainte. L’affaire est pendante devant la justice.
Selon toujours nos informations, au moment de la vente on lui avait caché l’arnaque et c’est des mois après qu’il a découvert avec stupeur la vérité.
Le coût global du terrain s’élève à 112.966.27O FCA.
En fait, en octobre 2018, le terrain en question était de type caution hypothécaire. Et que son terrain (Titre foncier 16.463 reporté au livre foncier de Ngor Almadies sous le numéro 8.648/NGA) est servi de garantie hypothèque le 27 décembre 2013 et 8 janvier 2014.
« J’ai pris un notaire, pour faire les choses en règle, et nous avons payé le terrain cash, c’est-à-dire 80 millions versés exactement », raconte M. Ndiaye. Selon qui, le coût global s’élève à 112.966.27O FCA (Tout frais compris, notaire etc.).
Erreurs de procédure ou acte prémédité ? En tous cas, c’est au moment de construire qu’il s’est rendu compte que le terrain ne lui appartenait pas encore.
Jusqu’au moment où cet article est écrit, le sieur Ndiaye remue ciel et terre pour sauver son investissement. « Je demande à ce qu’elle paie à la banque son dû soit 88 millions de fr (Cfa) et que l’hypothèque soit levé afin que je puisse recouvrer mon terrain. »
Ne pouvant plus garder le silence, il s’est confié à nous. Jointe au téléphone, Madame Ourèye Diop n’a pas nié les faits mais souhaite laisser la justice régler le litige.
«Cette affaire est en cours de résolution auprès de la banque, et de nos notaires respectifs. Je ne peux par conséquent me prononcer là-dessus… », nous dit-elle au bout du fil.
Qu’y a-t-il vraiment? Nous serons édifiés dans les jours à venir. Mais, ce qu’il est constant est que dame justice est souvent mise à rude épreuve pour des dossiers liés aux fonciers. Par ailleurs, le constat fait est qu’il est évident que la terre reste plus que jamais un enjeu qui entraîne des conflits d’intérêts et comme un tribunal du commerce est mis en place pourquoi ne pas mettre un autre qui ne va juger que des cas de litiges afin d’identifier les conditions d’accès à la terre qui sont souvent source de conflit.
AZACTU.NET
Que s’est-il passé exactement ?
Selon des informations, les faits remontent au 3 juillet. 2O17 juste à la veille des Législatives. (Ces élections se sont déroulées le 30 juillet 2018). En effet, le nommé Amadou Diossy Ndiaye a acheté un terrain d’une superficie de 391m2 à Ngor-Virage, près de l’ancien aéroport L.S.S) à Dakar, pour le compte de son frère émigré. La transaction s’est déroulé devant notaire à savoir le Cabinet SC Ndiaye de Me Mamadou Tanor Dieng et Me Yaye Touty Sylla Ndiaye).
Jusque-là, tout va bien mais il est tombé des nues lorsqu’au moment d’entamer la construction une banque de la place a opposé son véto sous prétexte que le terrain avait été hypothéqué auprès d’elle par la dame O. Diop, pour un crédit de 88.000.000 de Francs CFA.
Croyant d’abord que c’était une erreur, il a ensuite eu confirmation auprès de la vendeuse qui a demandé un délai pour trouver une solution à cette affaire.
Après deux 2 délais non respectés, la victime, décidé à se battre contre ce qu’il qualifie d’impunité, a commis un avocat et pour porter plainte. L’affaire est pendante devant la justice.
Selon toujours nos informations, au moment de la vente on lui avait caché l’arnaque et c’est des mois après qu’il a découvert avec stupeur la vérité.
Le coût global du terrain s’élève à 112.966.27O FCA.
En fait, en octobre 2018, le terrain en question était de type caution hypothécaire. Et que son terrain (Titre foncier 16.463 reporté au livre foncier de Ngor Almadies sous le numéro 8.648/NGA) est servi de garantie hypothèque le 27 décembre 2013 et 8 janvier 2014.
« J’ai pris un notaire, pour faire les choses en règle, et nous avons payé le terrain cash, c’est-à-dire 80 millions versés exactement », raconte M. Ndiaye. Selon qui, le coût global s’élève à 112.966.27O FCA (Tout frais compris, notaire etc.).
Erreurs de procédure ou acte prémédité ? En tous cas, c’est au moment de construire qu’il s’est rendu compte que le terrain ne lui appartenait pas encore.
Jusqu’au moment où cet article est écrit, le sieur Ndiaye remue ciel et terre pour sauver son investissement. « Je demande à ce qu’elle paie à la banque son dû soit 88 millions de fr (Cfa) et que l’hypothèque soit levé afin que je puisse recouvrer mon terrain. »
Ne pouvant plus garder le silence, il s’est confié à nous. Jointe au téléphone, Madame Ourèye Diop n’a pas nié les faits mais souhaite laisser la justice régler le litige.
«Cette affaire est en cours de résolution auprès de la banque, et de nos notaires respectifs. Je ne peux par conséquent me prononcer là-dessus… », nous dit-elle au bout du fil.
Qu’y a-t-il vraiment? Nous serons édifiés dans les jours à venir. Mais, ce qu’il est constant est que dame justice est souvent mise à rude épreuve pour des dossiers liés aux fonciers. Par ailleurs, le constat fait est qu’il est évident que la terre reste plus que jamais un enjeu qui entraîne des conflits d’intérêts et comme un tribunal du commerce est mis en place pourquoi ne pas mettre un autre qui ne va juger que des cas de litiges afin d’identifier les conditions d’accès à la terre qui sont souvent source de conflit.
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