Les faits surprenants à la veille de l’élection présidentielle du février 2024 se prolongent. Alors qu’une prétendue audience d’une partie de l’opposition avec le président Macky fait le tollé au niveau l’opinion nationale, le directeur général de l’organe de presse Walfadjri, qui jusqu’ici avait une ligne éditoriale très réfractaire au pouvoir, a écrit une contribution qui surprend plus d’un.
« …Amadou BA, de par sa prestance et sa personnalité, a fini par s’imposer comme candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar. Sans doute, le Premier ministre doit ce choix, non pas à son appartenance à l’Alliance pour la République, mais à son profil et à sa discrétion. C’est un candidat éthique et véridique. Ancien ministre des Finances, Amadou Bâ est un grand commis de l’État. Il l’incarne dans toute sa splendeur. Il n’est certainement pas le choix de cœur de Macky, mais sa dimension et le fait qu’il soit une personnalité non clivante l’ont imposé. Il est le seul profil dans Benno capable de faire face à l’opposition, mais aussi réconcilier les Sénégalais… » peut-t-on lire dans ces écrits.
D’après l’avocat, le candidat de BBY est le seul profil qui pourrait émerger du grand vivier dont dispose la coalition au pouvoir depuis 2012. Ces louanges aussi propagandistes que partisanes du directeur du groupe Walf, peuvent surprendre le personnel du dit groupe.
L’on se demande alors ce qui a poussé le chef du groupe de presse à adopter une telle posture ?
La réponse pourrait peut-être émanée de ses propos à la fin de son texte, « Le partage inéquitable de l’aide à la presse m’avait poussé à lui rendre visite. L’objectif a été de lui faire part de l’injustice que notre groupe subit et surtout la non-publication de la liste des bénéficiaires. Dans sa réponse, il avait promis, une fois élu président de la République du Sénégal, la transparence. Ce qui lui avait fait dire que, lui chef de l’État, il va prôner la réconciliation nationale, la transparence et la justice sociale. Cet engagement trouve son essence dans sa parfaite maîtrise des rouages de l’État, notamment des finances publiques. Il connaît parfaitement l’État. C’est le candidat qui maîtrise le mieux l’État ».
Cette prise de position va sans doute gêner du côté de Khar Yalla, siège du groupe de presse dont la majorité des journalistes et chroniqueurs sont proches du Pastef.
« …Amadou BA, de par sa prestance et sa personnalité, a fini par s’imposer comme candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar. Sans doute, le Premier ministre doit ce choix, non pas à son appartenance à l’Alliance pour la République, mais à son profil et à sa discrétion. C’est un candidat éthique et véridique. Ancien ministre des Finances, Amadou Bâ est un grand commis de l’État. Il l’incarne dans toute sa splendeur. Il n’est certainement pas le choix de cœur de Macky, mais sa dimension et le fait qu’il soit une personnalité non clivante l’ont imposé. Il est le seul profil dans Benno capable de faire face à l’opposition, mais aussi réconcilier les Sénégalais… » peut-t-on lire dans ces écrits.
D’après l’avocat, le candidat de BBY est le seul profil qui pourrait émerger du grand vivier dont dispose la coalition au pouvoir depuis 2012. Ces louanges aussi propagandistes que partisanes du directeur du groupe Walf, peuvent surprendre le personnel du dit groupe.
L’on se demande alors ce qui a poussé le chef du groupe de presse à adopter une telle posture ?
La réponse pourrait peut-être émanée de ses propos à la fin de son texte, « Le partage inéquitable de l’aide à la presse m’avait poussé à lui rendre visite. L’objectif a été de lui faire part de l’injustice que notre groupe subit et surtout la non-publication de la liste des bénéficiaires. Dans sa réponse, il avait promis, une fois élu président de la République du Sénégal, la transparence. Ce qui lui avait fait dire que, lui chef de l’État, il va prôner la réconciliation nationale, la transparence et la justice sociale. Cet engagement trouve son essence dans sa parfaite maîtrise des rouages de l’État, notamment des finances publiques. Il connaît parfaitement l’État. C’est le candidat qui maîtrise le mieux l’État ».
Cette prise de position va sans doute gêner du côté de Khar Yalla, siège du groupe de presse dont la majorité des journalistes et chroniqueurs sont proches du Pastef.