
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); «C’est après la mort qu’on encense les gens. Il faut qu’on respecte les artistes. La question que je me pose c’est : où est le statut de l’artiste ? Sans statut, il n’y a pas d’artiste. De son vivant, Issa Samb (le nom de Joe Ouakam) était incompris, mais aujourd’hui on l’encense», déclare M. Foster au cours d'un entretien avec Seneweb.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); A ses yeux, certes le chef de l’Etat est venu mais à chaque fois qu’un artiste meurt, on lui fait des éloges.
"Mais de son vivant, qu’est-ce qu’on a fait pour lui ? C’est extrêmement grave. Ce n’est ni plus ni moins que de la politique politicienne pour gagner les élections", a indiqué M. Foster (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
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