Les Lions partiront encore en favoris de cette rencontre face au Nzalang Nacional. Un statut à confirmer devant une formation Equatoguinéenes réputée très joueuse et qui allie à son jeu beaucoup d’intensités physiques. Si la sélection sénégalaise a jusqu'ici réussi l'essentiel en sortant premier de son groupe, sans encaisser le moindre but et en rendant une meilleure copie en huitièmes de finale devant le Cap Vert, elle doit poursuivre sa montée en puissance. Et elle commence dans le jeu avec une meilleure animation.
«Dans le jeu, nous savons que nous devons nous améliorer. Nous allons progresser pour avoir de meilleures animations. Nous l’avons déjà fait, pourquoi ne pouvons-nous pas le faire ? Nous avons les connaissances, nous avons les joueurs, maintenant la confiance doit revenir au niveau offensif», avait promis Aliou Cissé qui disait être le « «premier à ne pas être satisfait» du jeu de son équipe, malgré la première place à la fin de la phase de poules. Avec le retour de Ismaila Sarr dans le groupe après une longue période de convalescence, le sélectionneur des Lions a tous les atouts pour passer le cap Equato-guinéen.
Considérée comme un outsider, le Nzalang nacional a suffisamment démontré qu'il ne s'est pas invité dans le top 8 par hasard. Elle a surpris plus d’un lors de la phase de groupes. Après avoir reussi à se placer à la deuxième place derrière la Côte d’Ivoire, et en battant même l’Algérie, championne en titre, les hommes de Juan Micha avaient fini d'afficher leur solidité lors des huitièmes de finale où ils se sont montrés très costauds mentalement. Ce qui leur a permis de décrocher la victoire et la qualification en écartant le Mali au bout du suspense, après la séance de tirs au but. Ce sera leur troisième quart de finale que le Nzalang nacional va disputer après ceux des éditions de 2012 et 2015 jouées toutes à domicile.
«Dans le jeu, nous savons que nous devons nous améliorer. Nous allons progresser pour avoir de meilleures animations. Nous l’avons déjà fait, pourquoi ne pouvons-nous pas le faire ? Nous avons les connaissances, nous avons les joueurs, maintenant la confiance doit revenir au niveau offensif», avait promis Aliou Cissé qui disait être le « «premier à ne pas être satisfait» du jeu de son équipe, malgré la première place à la fin de la phase de poules. Avec le retour de Ismaila Sarr dans le groupe après une longue période de convalescence, le sélectionneur des Lions a tous les atouts pour passer le cap Equato-guinéen.
Considérée comme un outsider, le Nzalang nacional a suffisamment démontré qu'il ne s'est pas invité dans le top 8 par hasard. Elle a surpris plus d’un lors de la phase de groupes. Après avoir reussi à se placer à la deuxième place derrière la Côte d’Ivoire, et en battant même l’Algérie, championne en titre, les hommes de Juan Micha avaient fini d'afficher leur solidité lors des huitièmes de finale où ils se sont montrés très costauds mentalement. Ce qui leur a permis de décrocher la victoire et la qualification en écartant le Mali au bout du suspense, après la séance de tirs au but. Ce sera leur troisième quart de finale que le Nzalang nacional va disputer après ceux des éditions de 2012 et 2015 jouées toutes à domicile.