
Dans un communiqué diffusé ce mercredi soir, le gouvernement burkinabè précise que cette décision intervient après « des concertations entamées il y a un peu plus de trois semaines avec l’ancien président du Faso ».
Le 27 mars dernier, Alassane Bala Sakandé, ex-président de l’Assemblée nationale, et par ailleurs président du Mouvement du peuple pour le progrès, avait interpellé après avoir demandé sa libération. La veille, la Cédéao avait sommé les autorités burkinabés de libérer l’ancien président de façon « inconditionnelle et sans délai ».