Bara Ndiaye, Directeur général de la Maison de la Presse
M. Ndiaye dira «la presse sous l’ère du Président Macky Sall a connu un bond en avant sans commune mesure». Il en veut pour preuve, «depuis 2012, il n’y a aucun acte ou fait venant du pouvoir et qui dénote d’une menace sur celle-ci. Mieux, aucun journaliste n’est en détention au Sénégal pour un délit de presse (…)».
Sur l’aide à la presse, Bara Ndiaye dira «qu’aucun organe de la presse privée n’est en conformité avec les obligations requises pour en bénéficier».
Mieux, il souligne le passif social des organes de presse privée, qui doivent à l’ARTP 14.415.477.539 FCFA de dette de redevance ; 1.823.722.328 FCFA d’arriérés de cotisations à l’IPRES ; 952.192.976 FCFA d’arriérés de cotisations à la Caisse de Sécurité Sociale et 36.941.700 F Cfa à la SODAV.
Sur la Maison de la Presse, Bara Ndiaye a tenu à relever qu’elle est intégralement construite sur fonds publics et fonctionne grâce aux dotations de l’Etat.
Puis, dira-t-il dans son édit, «à ma nomination, la levée de bouclier s’était opérée autour de mon inexpérience. Près de trois ans après, cette critique semble avoir cédé la place à la politisation de l’institution. Aujourd’hui, la Maison de la Presse a mis à la disposition de tous les acteurs des sièges fonctionnels, une médiathèque, un cyber presse et autant de salles de réunion et de séminaire, en plus d’avoir entièrement équipé le complexe hôtelier. Ceux-là qui nous critiquent, même s’ils ont mis de l’eau dans leur «bissap» en ayant constaté la situation actuelle de l’institution, sont les mêmes que ceux qui ont toujours tenu chez nous leurs cas d’écoles et leurs réunions du Tribunal des pairs, etc.»
En conclusion, l’administrateur de la Maison de la Presse dira que «en lieu et place des calomnies et autres manœuvres, le véritable débat se trouve dans la précarité des journalistes et reporters pendant que leurs patrons se sucrent».
Pour Bara Ndiaye, «le vrai débat, c’est sur les détournements de deniers publics (l’aide à la presse transite dans des comptes privés)».
Source : Sud Quotidien
Sur l’aide à la presse, Bara Ndiaye dira «qu’aucun organe de la presse privée n’est en conformité avec les obligations requises pour en bénéficier».
Mieux, il souligne le passif social des organes de presse privée, qui doivent à l’ARTP 14.415.477.539 FCFA de dette de redevance ; 1.823.722.328 FCFA d’arriérés de cotisations à l’IPRES ; 952.192.976 FCFA d’arriérés de cotisations à la Caisse de Sécurité Sociale et 36.941.700 F Cfa à la SODAV.
Sur la Maison de la Presse, Bara Ndiaye a tenu à relever qu’elle est intégralement construite sur fonds publics et fonctionne grâce aux dotations de l’Etat.
Puis, dira-t-il dans son édit, «à ma nomination, la levée de bouclier s’était opérée autour de mon inexpérience. Près de trois ans après, cette critique semble avoir cédé la place à la politisation de l’institution. Aujourd’hui, la Maison de la Presse a mis à la disposition de tous les acteurs des sièges fonctionnels, une médiathèque, un cyber presse et autant de salles de réunion et de séminaire, en plus d’avoir entièrement équipé le complexe hôtelier. Ceux-là qui nous critiquent, même s’ils ont mis de l’eau dans leur «bissap» en ayant constaté la situation actuelle de l’institution, sont les mêmes que ceux qui ont toujours tenu chez nous leurs cas d’écoles et leurs réunions du Tribunal des pairs, etc.»
En conclusion, l’administrateur de la Maison de la Presse dira que «en lieu et place des calomnies et autres manœuvres, le véritable débat se trouve dans la précarité des journalistes et reporters pendant que leurs patrons se sucrent».
Pour Bara Ndiaye, «le vrai débat, c’est sur les détournements de deniers publics (l’aide à la presse transite dans des comptes privés)».
Source : Sud Quotidien