Le colonel Abdourahim Kébé peut compter sur le soutien de son frère d’arme, le capitaine démissionnaire, Mamadou Dièye. Ce dernier se demande de quoi ont peur les autorités en multipliant les convocations à la gendarmerie du colonel à la retraite. Selon le capitaine Dièye, l’Etat n‘est jamais bâti sur le mensonge. Et si c’est le cas, les répercussions sont des boulets rouges qu’on trimbale partout avec des résonances à coup de tonnerre. A en croire le capitaine Dièye, l’engagement de tout citoyen est le dénominateur commun de tous les Sénégalais du point de vue juridique. Il rappelle que beaucoup d’officiers ont pris la retraite, démissionné ou en disponibilité et ont choisi librement leur vie.
Et le colonel Abdourahim Kébé et lui, dit-il, ont choisi l’option politique. Le capitaine Dièye dans "l'As" se demande si c’est un crime pour un ex-soldat de s’engager en politique. Pour lui, l’ancien patron de la Dirpa est libre d’être à Rewmi, libre d’être dans «Aar li ñu bokk» et libre de tant d’autres choses. Il considère que les autorités qui s’acharnent sur le colonel Kébé devaient faire leur boulot au lieu de se contenter d’être à la solde d’hurluberlues qui sont tous des parvenus. Il estime qu’il y a d’enquêtes plus sérieuses à mener et assez de personnes à interpeller au lieu de s’acharner sur le colonel Kébé. Il estime que des magouilleurs de l’Etat et des comploteurs de la haute hiérarchie sont en train de brader à vil prix l’excellence de l’armée.
Et le colonel Abdourahim Kébé et lui, dit-il, ont choisi l’option politique. Le capitaine Dièye dans "l'As" se demande si c’est un crime pour un ex-soldat de s’engager en politique. Pour lui, l’ancien patron de la Dirpa est libre d’être à Rewmi, libre d’être dans «Aar li ñu bokk» et libre de tant d’autres choses. Il considère que les autorités qui s’acharnent sur le colonel Kébé devaient faire leur boulot au lieu de se contenter d’être à la solde d’hurluberlues qui sont tous des parvenus. Il estime qu’il y a d’enquêtes plus sérieuses à mener et assez de personnes à interpeller au lieu de s’acharner sur le colonel Kébé. Il estime que des magouilleurs de l’Etat et des comploteurs de la haute hiérarchie sont en train de brader à vil prix l’excellence de l’armée.