(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); La chancelière allemande, Angela Merkel, qui s’est inscrite dans l’optique d’accorder une place de choix à l’Afrique et de contribuer à son développement, donne une nouvelle impulsion à sa politique de coopération. Elle enchaîne, de plus en plus, des initiatives qui devront permettre, entre autres, à l’Afrique, qui fait face à une forte pression démographique, de contenir, d’ici à quelques années, les flux migratoires.
Après le sommet du Think 20 (T 20) qui s’est tenu le 31 mai dernier, en Allemagne, la mise en place du projet ‘’ Compact With africa’’, qui soutient les investissements publics privés, Angela Merkel, a reçu, hier, 9 chefs d’État africains, dont la plupart viennent des pays francophones.
Cette rencontre, aux allures de mini-sommet destiné à l’Afrique, a servi de cadre pour débattre, de nouveau, sur des thématiques liées à l’énergie, à l’agriculture, aux infrastructures en vue d’accélérer le processus de développement du continent. Ce, avec les Africains eux-mêmes. Il est également question de dégager des mécanismes de financement qui faciliteront le décollage économique du continent. Angela Merkel a rappelé aux dirigeants du monde entier que « le développement ne peut se concrétiser à l’échelle mondiale sans la participation de tous ». Elle poursuit: « il est nécessaire de soutenir les pays africains dans leur quête de développement durable surtout que l’Afrique est en mesure de réaliser des bonds qualitatifs grâce à son énorme potentiel ».
Pour un développement axé sur la durabilité, le président de la Banque mondiale Jim Yong Kim, la Directrice générale du Fonds monétaire international, Christine Lagarde, le président de la Banque africaine de développement, Akinwuni Adesina, ont été conviés à cette grande rencontre qui a enregistré la participation de plusieurs investisseurs et de partenaires techniques et financiers du continent.
Le ministre sénégalais des Finances, Amadou Bâ, a fait des recommandations stratégiques à l’image de ses homologues du Maroc, de la Tunisie, du Rwanda après une présentation des secteurs porteurs de croissance.
L’Allemagne, présidente du G20, et par ailleurs, une des plus grandes puissances économiques du monde, démontre son intention d’imprimer sa marque et d’apporter des changements majeurs dans la résolution des crises qui secouent le monde.
Revoir le modèle de partenariat nord-sud
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Le mini-sommet de Berlin est une occasion, pour Angela Merkel, de réaffirmer sa volonté de s’appuyer sur les partenariats publics-privés. Si Merkel prône également l’instauration d’un meilleur environnement des affaires qui puisse attirer des investissements aptes à booster le développement économique des pays africains, il urge, à ses yeux, de revoir le modèle de coopération nord-sud. Il est important, a-t-elle ajouté, de miser sur ‘’le transfert de compétences et de technologies’’.
En effet, la chancelière allemande qui tient à la gouvernance économique durable du continent, par le biais d’investissements directs, a érigé, au rang des priorités, les questions de sécurité et d’immigration. L’Allemagne est présentée comme une terre d’accueil des immigrés pour avoir enregistré, ces dernières années, plus d’un million de demandeurs d’asiles.
Source Le Soleil
Après le sommet du Think 20 (T 20) qui s’est tenu le 31 mai dernier, en Allemagne, la mise en place du projet ‘’ Compact With africa’’, qui soutient les investissements publics privés, Angela Merkel, a reçu, hier, 9 chefs d’État africains, dont la plupart viennent des pays francophones.
Cette rencontre, aux allures de mini-sommet destiné à l’Afrique, a servi de cadre pour débattre, de nouveau, sur des thématiques liées à l’énergie, à l’agriculture, aux infrastructures en vue d’accélérer le processus de développement du continent. Ce, avec les Africains eux-mêmes. Il est également question de dégager des mécanismes de financement qui faciliteront le décollage économique du continent. Angela Merkel a rappelé aux dirigeants du monde entier que « le développement ne peut se concrétiser à l’échelle mondiale sans la participation de tous ». Elle poursuit: « il est nécessaire de soutenir les pays africains dans leur quête de développement durable surtout que l’Afrique est en mesure de réaliser des bonds qualitatifs grâce à son énorme potentiel ».
Pour un développement axé sur la durabilité, le président de la Banque mondiale Jim Yong Kim, la Directrice générale du Fonds monétaire international, Christine Lagarde, le président de la Banque africaine de développement, Akinwuni Adesina, ont été conviés à cette grande rencontre qui a enregistré la participation de plusieurs investisseurs et de partenaires techniques et financiers du continent.
Le ministre sénégalais des Finances, Amadou Bâ, a fait des recommandations stratégiques à l’image de ses homologues du Maroc, de la Tunisie, du Rwanda après une présentation des secteurs porteurs de croissance.
L’Allemagne, présidente du G20, et par ailleurs, une des plus grandes puissances économiques du monde, démontre son intention d’imprimer sa marque et d’apporter des changements majeurs dans la résolution des crises qui secouent le monde.
Revoir le modèle de partenariat nord-sud
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Le mini-sommet de Berlin est une occasion, pour Angela Merkel, de réaffirmer sa volonté de s’appuyer sur les partenariats publics-privés. Si Merkel prône également l’instauration d’un meilleur environnement des affaires qui puisse attirer des investissements aptes à booster le développement économique des pays africains, il urge, à ses yeux, de revoir le modèle de coopération nord-sud. Il est important, a-t-elle ajouté, de miser sur ‘’le transfert de compétences et de technologies’’.
En effet, la chancelière allemande qui tient à la gouvernance économique durable du continent, par le biais d’investissements directs, a érigé, au rang des priorités, les questions de sécurité et d’immigration. L’Allemagne est présentée comme une terre d’accueil des immigrés pour avoir enregistré, ces dernières années, plus d’un million de demandeurs d’asiles.
Source Le Soleil