Dans une interview prémonitoire accordée en 2010 au défunt quotidien Walf Grand Place, Amath Dansokho martelait des propos qui avaient valeur de testament : « Si je meurs, je ne voudrais pas d’hommage folklorique, l’estime du peuple me suffit. Je regrette le fait que l’estime dont je bénéficie de la part des couches populaires ne se traduise pas dans l’urne. Devenir président de la République du Sénégal ne m’a jamais effleuré l’esprit. »
Amath Dansokho : «Si je meurs, je ne voudrais pas d’hommages folkloriques»
POLITIQUE
Samedi 24 Aout 2019
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