A peine installé, Aly Ngouille commence à prendre ses marques à la place Washington. Le ministre de l’Intérieur a procédé hier, à la prise contact avec les services relevant de son département. Une occasion que le successeur d’Abdoulaye Daouda Diallo qu’il a mise à profit pour annoncer à la presse qui l’accompagnait, une rencontre avec les 286 partis légalement constitués.
Et, il s’emble vouloir aller vite car, «nous tiendrons les premières discussions dans le mois d’octobre. Nous allons envoyer à l’ensemble des partis des convocations », a-t-il informé, selon ses propos rapporté par « Le Quotidien ».
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});Aly Ngouille Ndiaye qui entend tourner la page où les partis de l’opposition ont critiqué le ministère sur beaucoup de point, a révélé que lundi passé, il «a parlé avec responsables de l’opposition ». «Ils ont exprimé des préoccupations mais personnes n’est encore contre ces entrevues », confie-t-il.
Affirmant espérer voir la classe politique autour de la table, le ministre de l’Intérieur a fait le premier pas. « Si l’opposition veut un audit du fichier électoral, on peut le faire », a-t-il déclaré. Aly Ngouille Ndiaye est convaincu qu’on « ne peut pas bourrer les urnes au Sénégal. C’est une crispation qui, à mon avis, est inutile. Ils n’ont qu’à attendre de nous voir à l’œuvre pour apprécier. Nous sommes certes des politiques, mais je ne pense pas que ça puisse déteindre sur l’organisation des élections. L’opposition n’a pas à avoir peur de cette organisations », a-t-il assuré.
Avec Leral