La perspective d’une débâcle électorale à Guédiawaye lors des prochaines élections législatives crée la panique dans le camp du frère du président de la République, Aliou Sall. De là une agitation frénétique et des propos extravagants qui traduisent le désarroi de ceux qui n’ont honoré aucun de leurs engagements.
Les compromis, compromissions et ralliements sans éthique sont dans l’ADN de leur parti. La détestable transhumance, inspirée, planifiée et mise en œuvre depuis le poste de commandement le plus élevé de l’APR, est vouée à l’échec le plus absolu. Ne sera jamais débauché que du menu fretin et des personnalités opportunistes aux convictions peu assurées. Le peuple souverain, seul dépositaire de la légitimité, saura reconnaitre ceux qui sont dignes de le représenter.
La banlieue sait distinguer clairement ses dignes fils qui la servent, des parachutés qui veulent s’en servir pour assouvir leurs ambitions personnelles. La banlieue n'a pas besoin de compassion. Elle a besoin de respect contre les clichés, les idées reçues mais surtout contre l'indifférence, l'abstention, la passivité.
Le compte à rebours a commencé pour un pouvoir aux abois, conscient de la faillite absolue de sa gouvernance approximative, nébuleuse et sans imagination. Les frères vont faire le dur apprentissage de la désillusion. Il s'agit de mobiliser les énergies pour faire de chaque coin de la banlieue un carrefour de projets et d'initiatives. Il y a donc un futur pour la banlieue et ce futur est entre nos mains, nous les véritables fils de la banlieue.
La nouvelle alternance est en marche.
Les compromis, compromissions et ralliements sans éthique sont dans l’ADN de leur parti. La détestable transhumance, inspirée, planifiée et mise en œuvre depuis le poste de commandement le plus élevé de l’APR, est vouée à l’échec le plus absolu. Ne sera jamais débauché que du menu fretin et des personnalités opportunistes aux convictions peu assurées. Le peuple souverain, seul dépositaire de la légitimité, saura reconnaitre ceux qui sont dignes de le représenter.
La banlieue sait distinguer clairement ses dignes fils qui la servent, des parachutés qui veulent s’en servir pour assouvir leurs ambitions personnelles. La banlieue n'a pas besoin de compassion. Elle a besoin de respect contre les clichés, les idées reçues mais surtout contre l'indifférence, l'abstention, la passivité.
Le compte à rebours a commencé pour un pouvoir aux abois, conscient de la faillite absolue de sa gouvernance approximative, nébuleuse et sans imagination. Les frères vont faire le dur apprentissage de la désillusion. Il s'agit de mobiliser les énergies pour faire de chaque coin de la banlieue un carrefour de projets et d'initiatives. Il y a donc un futur pour la banlieue et ce futur est entre nos mains, nous les véritables fils de la banlieue.
La nouvelle alternance est en marche.