Alioune Tine, l'ancien patron de Amnesty International en Afrique de l'ouest et du centre, estime que jamais les décisions de l’Etat, en matière électorale, n’ont autant été contestées. "En renonçant à un troisième mandat, Macky Sall a accompli un acte absolu de sublimation. Cela dit, l’impression d'un glissement autocratique, avec la restriction comme peau de chagrin des libertés publiques en pleine campagne pour la présidentielle», déplore-t-ill.
Selon lui, trop de fronts sont ouverts, au plan politique, économique, sociale et des droits humains, dont les faits les plus manifestes sont l’exode massif des jeunes totalement désemparés par un malaise social et politique si profond qu’il ne permet plus d’espoir la jeunesse».
Le fondateur de Afrika Jom center ajoute que face aux nuages qui s’accumulent et qui deviennent de plus en plus épais, le pays a besoin de consultations inclusives.
"Le président Macky Sall et tous les acteurs intéressés devraient sérieusement envisager le dialogue inclusif de la dernière chance pour résoudre par consensus et dans la sérénité les contentieux et les malentendus. Il faut réconcilier les sénégalais avec l’Etat, l’administration, la justice, la République et la démocratie. Le dialogue de la dernière chance pour la paix, la stabilité, la concorde et une présidentielle crédible, transparente, apaisée et surtout inclusive", conclut-il.
Selon lui, trop de fronts sont ouverts, au plan politique, économique, sociale et des droits humains, dont les faits les plus manifestes sont l’exode massif des jeunes totalement désemparés par un malaise social et politique si profond qu’il ne permet plus d’espoir la jeunesse».
Le fondateur de Afrika Jom center ajoute que face aux nuages qui s’accumulent et qui deviennent de plus en plus épais, le pays a besoin de consultations inclusives.
"Le président Macky Sall et tous les acteurs intéressés devraient sérieusement envisager le dialogue inclusif de la dernière chance pour résoudre par consensus et dans la sérénité les contentieux et les malentendus. Il faut réconcilier les sénégalais avec l’Etat, l’administration, la justice, la République et la démocratie. Le dialogue de la dernière chance pour la paix, la stabilité, la concorde et une présidentielle crédible, transparente, apaisée et surtout inclusive", conclut-il.