Alioune Tine, ancien patron de la Rencontre africaine des droits de l’Homme (Raddho), du Comité sénégalais des droits de l’homme (Csdh) et fondateur d’Africa Jom Center est formel : la participation de Karim Wade et Khalifa Sall dans le dialogue national prévu le 28 mai serait une « véritable plus-value ». Le « droit-de-l’hommiste » se prononçait lors de sa réception hier, lundi 20 mai, du Front citoyen pour la libération de Khalifa Sall.
Le dialogue politique national appelé par le chef de l’Etat Macky Sall ne manquerait-il pas d’être inclusif si certains acteurs, dont le poids et/ou le crédit politique est une réalité au sein des populations, n’y participaient pas ? Alioune Tine, l’ancien patron de la Rencontre africaine des droits de l’Homme (Raddho), du Comité sénégalais des droits de l’homme (Csdh) et fondateur d’Africa Jom Center, n’est certainement pas loin de penser autrement.
Aussi a-t-il savoir hier, lundi 20 mai, lors de la visite que le Front citoyen pour la libération de Khalifa Sall lui a faite, que la participation de Karim Wade et de l’ancien maire déchu de Dakar boosterait le dialogue politique prévu le 28 mai par le Chef de l’Etat. « Nous estimons parmi les conditions de succès du dialogue que nous allons engager, pour apaiser ce quinquennat, et nous l’avons toujours dit, figure en première ligne…la libération de Khalifa Sall. Parce que sa libération contribuerait énormément à apaiser et à réconcilier les Sénégalais avec eux-mêmes. Je dis la libération de Khalifa Sall, je pense aussi à Karim Wade. Le retour de Karim et la participation de Karim Wade et Khalifa Sall dans le dialogue politique, ce serait une véritable plus-value ». Alioune Tine n’a pas manqué dans la foulée d’encourager le Front citoyen pour la libération de Khalifa Sall dans son initiative en faveur de l’ancien maire socialiste de Dakar. Et cela, a-t-il fait savoir «au moment où nous allons nous engager dans le dialogue national, je ne dirais pas dialogue politique. Parce que c’est un terme très restrictif. Une discussion qui va se cantonner tout simplement à examiner les dysfonctionnements des élections. Pour les prochaines élections, c’est aussi restrictif par rapport au défi que nous avons face à nos dysfonctionnements démocratiques et institutionnels».
Pour rappel, le Front citoyen pour la libération de Khalifa Sall a rencontré hier, lundi 20 mai 2019, l’ancien patron de la Raddho pour lui soumettre son « plan d’action qui était d’organiser une pétition internationale » à la suite de la mise en place dudit front, comme l’a d’ailleurs signalé Abou Diallo du Cos/M23. Non sans relever que « nous avons lancé cette pétition pour dire au Président Macky Sall que l’affaire Khalifa Sall n’est plus celle des Khalifistes mais de tout Sénégalais, un combat national. Nous lui demandons de libérer Khalifa Sall ».
Le dialogue politique national appelé par le chef de l’Etat Macky Sall ne manquerait-il pas d’être inclusif si certains acteurs, dont le poids et/ou le crédit politique est une réalité au sein des populations, n’y participaient pas ? Alioune Tine, l’ancien patron de la Rencontre africaine des droits de l’Homme (Raddho), du Comité sénégalais des droits de l’homme (Csdh) et fondateur d’Africa Jom Center, n’est certainement pas loin de penser autrement.
Aussi a-t-il savoir hier, lundi 20 mai, lors de la visite que le Front citoyen pour la libération de Khalifa Sall lui a faite, que la participation de Karim Wade et de l’ancien maire déchu de Dakar boosterait le dialogue politique prévu le 28 mai par le Chef de l’Etat. « Nous estimons parmi les conditions de succès du dialogue que nous allons engager, pour apaiser ce quinquennat, et nous l’avons toujours dit, figure en première ligne…la libération de Khalifa Sall. Parce que sa libération contribuerait énormément à apaiser et à réconcilier les Sénégalais avec eux-mêmes. Je dis la libération de Khalifa Sall, je pense aussi à Karim Wade. Le retour de Karim et la participation de Karim Wade et Khalifa Sall dans le dialogue politique, ce serait une véritable plus-value ». Alioune Tine n’a pas manqué dans la foulée d’encourager le Front citoyen pour la libération de Khalifa Sall dans son initiative en faveur de l’ancien maire socialiste de Dakar. Et cela, a-t-il fait savoir «au moment où nous allons nous engager dans le dialogue national, je ne dirais pas dialogue politique. Parce que c’est un terme très restrictif. Une discussion qui va se cantonner tout simplement à examiner les dysfonctionnements des élections. Pour les prochaines élections, c’est aussi restrictif par rapport au défi que nous avons face à nos dysfonctionnements démocratiques et institutionnels».
Pour rappel, le Front citoyen pour la libération de Khalifa Sall a rencontré hier, lundi 20 mai 2019, l’ancien patron de la Raddho pour lui soumettre son « plan d’action qui était d’organiser une pétition internationale » à la suite de la mise en place dudit front, comme l’a d’ailleurs signalé Abou Diallo du Cos/M23. Non sans relever que « nous avons lancé cette pétition pour dire au Président Macky Sall que l’affaire Khalifa Sall n’est plus celle des Khalifistes mais de tout Sénégalais, un combat national. Nous lui demandons de libérer Khalifa Sall ».