Invité de l’émission TLV de la Sen TV, le président de l’Africa Jom Center veut regrouper tous les acteurs politiques autour d’une même table pour, dit-il, « un dialogue politique de la dernière chance».
« Nous nous estimons, qu’on s’est assez battu, il y a assez de bagarre, assez de violence, maintenant on est dans une phase pratiquement où nous discutons de contentieux de façon juridique. C’est une bonne phase. Maintenant il y a une troisième phase, parce que chez nous il y a une dialectique entre la violence et le dialogue politique. Et nous nous disons par rapport à tous les contentieux que nous avons, il nous faut un dialogue politique de la dernière chance», a déclaré Alioune Tine à l’émission Tlv.
Un dialogue politique qui, explique le président d'Africa Jom Center «permet à tous les acteurs, l’État, les candidats, la société civile d’examiner l’ensemble des contentieux, les questions sur lesquelles les gens ne sont pas d’accords. On discute et on trouve des solutions consensuelles et on va tranquillement vers des élections apaisées». Et, ajoute-t-il, «celui qui va sortir de cette élection va trouver une solution, où dès le lendemain il va travailler au lieu de gérer des questions de violence post-électorale, de justice, de ceci, de cela».
Selon Alioune Tine, «c’est ça qui peut sauver le Sénégal, il nous faut un dialogue de la dernière chance et je suis en train d’y travailler», fait-il savoir. Avant de rappeler «on est sorti du dialogue deux ou trois jours après on a connu des violences jamais connues au Sénégal. Pour dire que ce n’était pas achevé. Et ne pas reconnaître que l’absence de Sonko a un peu faussé les choses, c’est faire la politique de l’autruche», a laissé Alioune Tine. C’est pourquoi, insiste-t-il, «il nous faut un dialogue de la dernière chance qui soit un dialogue inclusif».
« Nous nous estimons, qu’on s’est assez battu, il y a assez de bagarre, assez de violence, maintenant on est dans une phase pratiquement où nous discutons de contentieux de façon juridique. C’est une bonne phase. Maintenant il y a une troisième phase, parce que chez nous il y a une dialectique entre la violence et le dialogue politique. Et nous nous disons par rapport à tous les contentieux que nous avons, il nous faut un dialogue politique de la dernière chance», a déclaré Alioune Tine à l’émission Tlv.
Un dialogue politique qui, explique le président d'Africa Jom Center «permet à tous les acteurs, l’État, les candidats, la société civile d’examiner l’ensemble des contentieux, les questions sur lesquelles les gens ne sont pas d’accords. On discute et on trouve des solutions consensuelles et on va tranquillement vers des élections apaisées». Et, ajoute-t-il, «celui qui va sortir de cette élection va trouver une solution, où dès le lendemain il va travailler au lieu de gérer des questions de violence post-électorale, de justice, de ceci, de cela».
Selon Alioune Tine, «c’est ça qui peut sauver le Sénégal, il nous faut un dialogue de la dernière chance et je suis en train d’y travailler», fait-il savoir. Avant de rappeler «on est sorti du dialogue deux ou trois jours après on a connu des violences jamais connues au Sénégal. Pour dire que ce n’était pas achevé. Et ne pas reconnaître que l’absence de Sonko a un peu faussé les choses, c’est faire la politique de l’autruche», a laissé Alioune Tine. C’est pourquoi, insiste-t-il, «il nous faut un dialogue de la dernière chance qui soit un dialogue inclusif».