(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Le 28 mars quand la liberté provisoire sous contrôle judiciaire était accordée à Bamba et compagnie, la joie a été de courte durée puisque le même jour le procureur a déposé un pourvoi.
Et puisque le pourvoi a un caractère suspensif, l’édile de la Médina et les pro-khalifa devaient prolonger leur séjour carcéral. Mais deux jours après plus exactement le 31 mars, l’avocate du maire de la Médina, Me Aissata Tall Sall, avait profité de la rencontre hebdomadaire «les vendredis de Bamba Fall», pour s’exprimer sur une probable liberté de son client dans moins d’un moins. Cela est avéré puisque Bamba a recouvré la liberté le 25 avril.
L’avocate et maire de Podor disait : «Le juge avait annoncé une liberté provisoire pour notre client Bamba Fall, mais il y a quelqu’un qui s’y est opposé parce qu’il n’a plus d’autre moyens de le retenir en prison. Mais, ce sera peine perdue. L’article 187 du Code de procédure pénale dispose que lorsqu’il y a appel en matière de liberté provisoire, La chambre d’accusation doit, en matière de détention provisoire, se prononcer au plus tard dans le mois de l’appel, faute de quoi l’inculpé est mis d’office en liberté provisoire.»
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Elle ajoutait avec confiance : «Nous avons plaidé pour une liberté d’office pour Bamba Fall et Cie. Dans un mois, Bamba Fall sera à la Medina avec nous s’il plait à Dieu. La Cour suprême doit statuer dans le mois. Je vous donne rendez-vous dans un mois ici, avec Bamba Fall et ses camarades.»
Elle demeurait, cependant, convaincue que, en dépit du pourvoi en cassation du parquet général, justice leur revendrait. Ce qui est fait puisque Bamba et compagnie sont sortis de prison depuis le 25 mars.
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Et puisque le pourvoi a un caractère suspensif, l’édile de la Médina et les pro-khalifa devaient prolonger leur séjour carcéral. Mais deux jours après plus exactement le 31 mars, l’avocate du maire de la Médina, Me Aissata Tall Sall, avait profité de la rencontre hebdomadaire «les vendredis de Bamba Fall», pour s’exprimer sur une probable liberté de son client dans moins d’un moins. Cela est avéré puisque Bamba a recouvré la liberté le 25 avril.
L’avocate et maire de Podor disait : «Le juge avait annoncé une liberté provisoire pour notre client Bamba Fall, mais il y a quelqu’un qui s’y est opposé parce qu’il n’a plus d’autre moyens de le retenir en prison. Mais, ce sera peine perdue. L’article 187 du Code de procédure pénale dispose que lorsqu’il y a appel en matière de liberté provisoire, La chambre d’accusation doit, en matière de détention provisoire, se prononcer au plus tard dans le mois de l’appel, faute de quoi l’inculpé est mis d’office en liberté provisoire.»
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Elle demeurait, cependant, convaincue que, en dépit du pourvoi en cassation du parquet général, justice leur revendrait. Ce qui est fait puisque Bamba et compagnie sont sortis de prison depuis le 25 mars.
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