Coline Fay, ressortissante française âgée de 26 ans et originaire d’Échirolles, dans l’Isère (Auvergne-Rhône-Alpes), file en instruction. Libération, qui donne l'information, rappelle que la mise en cause a été interpellée vendredi dernier, en même temps que les nommés El Hadji Barro, Malang Mané, Ibrahima Manga, Ousmane Tamba et Benoît Sambou, devant la Cour suprême, où se tenait l’audience relative au recours de l’Agent judiciaire de l’État (AJE) contre le verdict du tribunal de Ziguinchor réintégrant Ousmane Sonko sur les listes électorales.
Le Parquet a demandé l'ouverture d'une information judiciaire contre tous pour actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique mais aussi complot contre l'autorité de l'État. Le dossier a été confié au juge du deuxième cabinet qui a placé sous mandat de dépôt les mis en cause. Le maître des poursuites vise en plus des incriminations de base le délit de "séjour irrégulier" au Sénégal contre Coline Fay, renseigne le journal.
Celui-ci rappelle que les enquêteurs ont découvert que la ressortissante française animait un groupe au nom de la Jeunesse patriotique du Sénégal (Jps) comptant 500 membres. Il est reproché à l'administratrice du groupe d'avoir demandé aux membres de descendre sur le terrain le jour du 17 novembre et des prises photographiques faites devant la Cour suprême. Face aux enquêteurs, la mise en cause a assumé son soutien à Ousmane Sonko.
Le Parquet a demandé l'ouverture d'une information judiciaire contre tous pour actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique mais aussi complot contre l'autorité de l'État. Le dossier a été confié au juge du deuxième cabinet qui a placé sous mandat de dépôt les mis en cause. Le maître des poursuites vise en plus des incriminations de base le délit de "séjour irrégulier" au Sénégal contre Coline Fay, renseigne le journal.
Celui-ci rappelle que les enquêteurs ont découvert que la ressortissante française animait un groupe au nom de la Jeunesse patriotique du Sénégal (Jps) comptant 500 membres. Il est reproché à l'administratrice du groupe d'avoir demandé aux membres de descendre sur le terrain le jour du 17 novembre et des prises photographiques faites devant la Cour suprême. Face aux enquêteurs, la mise en cause a assumé son soutien à Ousmane Sonko.