L’ancienne directrice de la case des tout Petits a affiché son incompréhension : « Le fondement, c’est que nous sommes sénégalais, un pays de croyants, on ne doit même pas penser à poser de tels actes. Ça pose un problème à mon niveau ».
« Il faut un retour à nos valeurs. Le président Senghor disait l’enracinement et l’ouverture mais aujourd’hui, nous avons plus besoin de cet enracinement”. Préconise-t-elle.
“Nous femmes, nous avons cette responsabilité de bien éduquer les enfants surtout les filles. Je ne peux pas comprendre qu’une femme puisse accepter des actes de telle nature », s’étonne-t-elle.
A en croire, Thérèse Faye, le paraître occupe plus de place dans nos mentalités actuelles. “On voit l’argent couler à flot et on ne s’intéresse pas à ce qui se passe derrière”, fait-t-elle savoir.
Pour rappel, l’affaire « Dubaï Porta Potty » a fait un tollé depuis quelques jours à travers le monde. Ce scandale fait état de jeunes femmes qui acceptent des actes contre-nature en échange de somme d’argent.
Une liste de 42 jeunes femmes sénégalaises seraient dans ce lot, mais aucun nom n’a fuité pour l’instant.
« Il faut un retour à nos valeurs. Le président Senghor disait l’enracinement et l’ouverture mais aujourd’hui, nous avons plus besoin de cet enracinement”. Préconise-t-elle.
“Nous femmes, nous avons cette responsabilité de bien éduquer les enfants surtout les filles. Je ne peux pas comprendre qu’une femme puisse accepter des actes de telle nature », s’étonne-t-elle.
A en croire, Thérèse Faye, le paraître occupe plus de place dans nos mentalités actuelles. “On voit l’argent couler à flot et on ne s’intéresse pas à ce qui se passe derrière”, fait-t-elle savoir.
Pour rappel, l’affaire « Dubaï Porta Potty » a fait un tollé depuis quelques jours à travers le monde. Ce scandale fait état de jeunes femmes qui acceptent des actes contre-nature en échange de somme d’argent.
Une liste de 42 jeunes femmes sénégalaises seraient dans ce lot, mais aucun nom n’a fuité pour l’instant.