Samuel Sarr est depuis une semaine inculpé et placé sous contrôle judiciaire. Il est poursuivi pour abus de confiance.
Il est reproché à l'ancien ministre de l'Energie d’avoir reçu de Cheikh Amar la somme de deux milliards de francs CFA, destinés à Abdoulaye Wade, sans avoir remis à ce dernier l'argent.
Les Échos, qui donne l’information dans son édition de ce mardi, précise que Samuel Sarr a été entendu par le juge du deuxième cabinet, Mamadou Seck.
Le magistrat suivant le réquisitoire introductif du procureur de la République, qui avait ouvert une information judiciaire et demandé l’inculpation du mis en cause.
L’affaire remonte à la surface alors que d’aucuns la croyaient enterrée. Au mois d’octobre dernier, elle avait fait grand bruit.
Cheikh Amar jurait que Samuel Sarr est venu en 2014 lui faire part de prétendus soucis financiers de Me Abdoulaye Waye qui, deux ans plus tôt, était battu à la présidentielle par Macky Sall.
Le patron de TSE aurait alors débloqué deux milliards pour l’ancien président de la République, mais l’argent ne serait jamais arrivé à son destinataire final.
Samuel Sarr avait balayé d’un revers de main les accusations. Il assurait que le montant en question est le règlement en partie d’une dette de 7 milliards contractée par Cheikh Amar auprès d’Abdoulaye Wade.
L’ancien ministre avait d’ailleurs déposé une plainte contre l'homme d'affaires, l'accusant de chercher à lui soutirer de l’argent et à nuire à sa réputation.
La Brigade de recherches de la gendarmerie avait pris l’affaire en main et entamé les auditions. Depuis lors, plus rien.
Le dossier vient d’être déterré par le procureur de la République avec l’inculpation et le placement sous contrôle judiciaire de Samuel Sarr.
Avec Seneweb
Il est reproché à l'ancien ministre de l'Energie d’avoir reçu de Cheikh Amar la somme de deux milliards de francs CFA, destinés à Abdoulaye Wade, sans avoir remis à ce dernier l'argent.
Les Échos, qui donne l’information dans son édition de ce mardi, précise que Samuel Sarr a été entendu par le juge du deuxième cabinet, Mamadou Seck.
Le magistrat suivant le réquisitoire introductif du procureur de la République, qui avait ouvert une information judiciaire et demandé l’inculpation du mis en cause.
L’affaire remonte à la surface alors que d’aucuns la croyaient enterrée. Au mois d’octobre dernier, elle avait fait grand bruit.
Cheikh Amar jurait que Samuel Sarr est venu en 2014 lui faire part de prétendus soucis financiers de Me Abdoulaye Waye qui, deux ans plus tôt, était battu à la présidentielle par Macky Sall.
Le patron de TSE aurait alors débloqué deux milliards pour l’ancien président de la République, mais l’argent ne serait jamais arrivé à son destinataire final.
Samuel Sarr avait balayé d’un revers de main les accusations. Il assurait que le montant en question est le règlement en partie d’une dette de 7 milliards contractée par Cheikh Amar auprès d’Abdoulaye Wade.
L’ancien ministre avait d’ailleurs déposé une plainte contre l'homme d'affaires, l'accusant de chercher à lui soutirer de l’argent et à nuire à sa réputation.
La Brigade de recherches de la gendarmerie avait pris l’affaire en main et entamé les auditions. Depuis lors, plus rien.
Le dossier vient d’être déterré par le procureur de la République avec l’inculpation et le placement sous contrôle judiciaire de Samuel Sarr.
Avec Seneweb