« Les élections législatives sénégalaises en ce qui concerne la proportionnelle, en réalité, permettent de proposer un programme présidentiel alternatif. La majoritaire est faite pour donner une majorité à un Président élu sur la base d'un programme qu'il doit pouvoir exécuter avec l'appui d'une assemblée qui lui est acquise. Le contrat moral du Président de la République est terminé raison pour laquelle il fait un bilan et propose la poursuite du Plan Sénégal Emergent », explique « Moom Sa Bopp Mënël Sa Bopp » dont la position « est que le Sénégal fonctionne selon des plans depuis 1960 ». Alors que « ce ne sont pas les plans qui vont développer le pays. Ce n'est pas le budget qui va développer le sénégalais bien qu'il soit utile pour des services publics, mais de qualité. Le vrai bilan n'est pas un bilan de réalisations physiques mais le bilan des sénégalais eux-mêmes dans leur vécu quotidien qui ne s'est pas amélioré depuis 2012. Le vrai bilan est celui de la mauvaise qualité des services publics, et d'une responsabilisation insuffisante de notre classe politique notamment nos élus locaux », préconise Abdourahmane SARR.
Pour le candidat, « il nous faut faire en sorte que chaque sénégalais puisse réaliser son propre plan en ayant accès au financement de son activité économique dans une monnaie à nous. Il nous faut également davantage responsabiliser les citoyens, particulièrement les parents d'élèves pour qu'ils puissent s'assurer d'une éducation de qualité pour leurs enfants, qualité que notre état n'arrive pas à leur fournir dans le modèle dirigiste dans lequel nous sommes depuis 1960. Il y va de meme pour la santé. Notre état n'arrive pas non plus à sortir le monde rural de la pauvreté, alors que le monde rural a les moyens de se sortir lui-même de la pauvreté ».
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); « La violence n'est faite que pour détourner les électeurs de l'essentiel comme on nous l'apprend en politique. Les partis politiques veulent entrainer les électeurs dans des querelles qui ne les concernent pas. Querelles entre le pouvoir et le groupe de Khalifa Sall, ou entre le pouvoir et le groupe d'Abdoulaye Wade, ces deux derniers groupes rivalisant pour être l'alternative au pouvoir mais n'ont comme arguments que l'injustice dont ils seraient victimes, ou des accusations de malversations ou de mauvaise gouvernance dont l'objectif est de tromper et détourner les électeurs des vraies questions »,affirme le leader du MRLD;».
Le Sénégal ayant « besoin de sang neuf», « le changement se fait avec des patriotes compétents et une offre claire », soutient son leader qui dit avoir démission du FMI « pour présenter une vision du changement à mes compatriotes ».
Pour le candidat, « il nous faut faire en sorte que chaque sénégalais puisse réaliser son propre plan en ayant accès au financement de son activité économique dans une monnaie à nous. Il nous faut également davantage responsabiliser les citoyens, particulièrement les parents d'élèves pour qu'ils puissent s'assurer d'une éducation de qualité pour leurs enfants, qualité que notre état n'arrive pas à leur fournir dans le modèle dirigiste dans lequel nous sommes depuis 1960. Il y va de meme pour la santé. Notre état n'arrive pas non plus à sortir le monde rural de la pauvreté, alors que le monde rural a les moyens de se sortir lui-même de la pauvreté ».
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Le Sénégal ayant « besoin de sang neuf», « le changement se fait avec des patriotes compétents et une offre claire », soutient son leader qui dit avoir démission du FMI « pour présenter une vision du changement à mes compatriotes ».