La mise en examen intervenue 24h plus tôt que prévu par les juges, porte sur le détournement de fonds publics, complicité et recel d'abus de biens sociaux ainsi que pour manquement aux obligations de déclaration à la haute autorité pour la transparence de la vie publique.
L’ex premier ministre avait annoncé la semaine passée sa convocation le 15 Mars devant les trois juges d’instruction chargés de l’information judicaire en vue de sa mise en examen. Le candidat, qui se dit toutefois victime d’une enquête «exclusivement à charge » et privé du traitement dû à «un justiciable comme les autres», a réaffirmé lundi qu’il irait jusqu’au bout de sa campagne malgré ses ennuis judicaires.
L’ex premier ministre avait annoncé la semaine passée sa convocation le 15 Mars devant les trois juges d’instruction chargés de l’information judicaire en vue de sa mise en examen. Le candidat, qui se dit toutefois victime d’une enquête «exclusivement à charge » et privé du traitement dû à «un justiciable comme les autres», a réaffirmé lundi qu’il irait jusqu’au bout de sa campagne malgré ses ennuis judicaires.