Le chef de l’Etat, Macky Sall, a officialisé samedi par décret la nomination de l’ex-ambassadeur du Sénégal aux Etats-Unis, Babacar Diagne au poste de président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) pour un mandat unique de six ans.
«Monsieur Babacar Diagne a été nommé président du CNRA ce jour (18 août) par le décret numéro 2018-1545 en remplacement de monsieur Babacar Touré», lit-on notamment dans le document transmis le même jour à l’APS. Le nouveau président de cet organe de régulation de l’audiovisuel au Sénégal qui prendra fonction le 7 septembre prochain est un homme issu du secteur des médias.
Le nouveau Dg a ainsi mis en garde les médias en cas de faute grave. «Jusqu’à présent, le CNRA émet des avis, fait des constations mais on n’a jamais vu de sanctions. Je pense qu’il est temps que des sanctions arrivent», avertit-il sur radio Sénégal.
L’ancien Ambassadeur et ancien Directeur de la Radiodiffusion télévision sénégalaise (RTS) de se montrer on ne peut plus clair dans la foulée : «il est temps que ce qu’on voit par rapport au contenu de nos programmes et qui a des effets dramatiques sur notre jeunesse, sur nos valeurs en général, que ces dérapages-là soit sanctionné. Je pense qu’on va aller vers ça».
«Monsieur Babacar Diagne a été nommé président du CNRA ce jour (18 août) par le décret numéro 2018-1545 en remplacement de monsieur Babacar Touré», lit-on notamment dans le document transmis le même jour à l’APS. Le nouveau président de cet organe de régulation de l’audiovisuel au Sénégal qui prendra fonction le 7 septembre prochain est un homme issu du secteur des médias.
Le nouveau Dg a ainsi mis en garde les médias en cas de faute grave. «Jusqu’à présent, le CNRA émet des avis, fait des constations mais on n’a jamais vu de sanctions. Je pense qu’il est temps que des sanctions arrivent», avertit-il sur radio Sénégal.
L’ancien Ambassadeur et ancien Directeur de la Radiodiffusion télévision sénégalaise (RTS) de se montrer on ne peut plus clair dans la foulée : «il est temps que ce qu’on voit par rapport au contenu de nos programmes et qui a des effets dramatiques sur notre jeunesse, sur nos valeurs en général, que ces dérapages-là soit sanctionné. Je pense qu’on va aller vers ça».